Le faux plafond suspendu s’adresse à la fois aux locaux professionnels et aux logements pour particulier. A la fois très pratique et esthétique (encore plus avec des spots encastrables), c’est l’une des options les plus choisies actuellement que ce soit pour une nouvelle construction ou une rénovation.
Pourquoi opter pour un faux plafond suspendu ?
Le faux plafond suspendu s’adresse notamment à une pièce ou un local dont l’installation électrique est apparent au niveau du plafond. En effet, non seulement il dissimule les différents éléments (fils, adaptateur, etc.), rendant l’intérieur plus esthétique, mais en plus, on peut le démonter pour d’éventuelles réparations ou rajouts de tels éléments. Ceux-ci prennent alors place dans l’espace entre l’ancien plafond ou le plancher et le faux plafond suspendu, que l’on appelle plénum.
Par ailleurs, le faux plafond suspendu est également idéal pour une rénovation. Comme il dissimule les fils électriques et autres, il cache aussi (ou en même temps d’ailleurs) un plafond abîmé par le « temps ».
Combien coûte la pose d’un faux plafond suspendu ?
Un faux plafond suspendu peut être fait de différents matériaux. Entre autres, il y a les lambris de bois, les lames métalliques, les plaques de plâtre, ou encore le verre. Le coût total des travaux dépendra donc en premier lieu du choix de matériau, chacun ayant son prix. Mais à part les plaques constituant le faux plafond en lui-même, il y a également les quadrillages qui vont les accueillir. Il peut s’agir de tasseaux, fourrures ou profilés faits en métal, en acier galvanisé ou en bois. Et bien évidemment, il y a également les suspentes qui vont maintenir l’ensemble. C’est ainsi qu’il faut compter au minimum 10 euros par m2 si on procède soi-même aux travaux et cela est d’environ 30 euros par 2 si l’on fait appel à un professionnel.